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vendredi 31 juillet 2015

Une séance de terrassement !


Un quai bétonné !


Le quai qui borde la darse du port Saint Jacques est bétonné. C'est pratique l'hiver lorsque la météo est à la pluie et que le terrain est détrempé, boueux.

Mais ce quai est fait de deux ensembles qui ne sont pas reliés entre eux. Il manque quelques mètres pour que nous puissions évoluer tout à fait au sec :




Le but était donc de poser une dalle en béton entre les deux parties mais avant de passer à la phase "béton", il est nécessaire de creuser pour égaliser le terrain et faire de la place pour y mettre une bonne épaisseur de béton.

Du déblaiement !


Cela a donc commencé par une phase de déblaiement... Pelle et pioche ont été nécessaires et lors de la première journée, j'ai ainsi retiré 11 brouettes de terre, de cailloux et de racines ! Le travail est lent car la pioche projette tout un tas de morceaux de cailloux et comme il y a deux bateaux à proximité, je vais doucement pour limiter les risques d'abimer les coques.
Le travail est également pénible car en dehors des innombrables pierres, il y a beaucoup de racines et la pointe de la pioche rebondit ou s'y enfonce profondément.



La seconde journée a été moins chargée si on compte le nombre de brouettes car je n'en ai rempli que 3 !

Il y a moins de terre à enlever mais elle est plus difficile à dégager car elle se trouve prise entre les racines.

Un premier essai pour couper la plus grosse racine à la tronçonneuse s'est soldée par un semi-échec: j'ai bien entamé le bois et je l'ai tranché sur une bonne épaisseur mais d'un seul coup, je me suis rendu compte que de l'huile me coulait sur la jambe : le bouchon du réservoir d'huile était mal fermé, du coup il n'y avait plus une goutte dans la machine et tout était parti décoré mon short ! Et plus d'huile en stock !




La troisième journée a été encore moins productive en terme de brouette puisque je n'en ai rempli qu'une seule ! 

Le plus gros du travail a été le découpage des racines dont certaines étaient larges comme des troncs d'arbres ! Le rythme est de plus en plus lent car il me faut dégager complètement la terre et les cailloux autour des racines avant de pouvoir les couper à la tronçonneuse, cette dernière n'appréciant pas le contact des pierres qui ruinent l'affutage de la chaine.







La tronçonneuse a un peu chauffé et d'ailleurs, il a même fallut changer la chaine mais j'ai pu venir à bout de ces racines. Le nivellement du reste de la terre a été de la plaisanterie après cela et il ne reste maintenant plus qu'à couler le béton !





Mais ce sera une autre histoire ! :)

vendredi 24 juillet 2015

Lever du jour sur le port


Lever du jour sur le port...


Au vu de la météo, c'est sans doute la dernière fois que l'on voit le ciel bleu pour cette fin de semaine :(



dimanche 19 juillet 2015

Le Sanguetta, un bateau italien dans le port Saint Jacques



Un bateau Italien


En fin d'après-midi, nous étions en train de vaquer à nos occupations à bord après avoir passé une bonne partie de la journée dehors lorsque notre attention a été attirée par un bruit de moteur. C'est ainsi que nous avons pu voir entrer dans le port une vedette de construction hollandaise battant pavillon italien. Le temps de sortir et nous avons rejoins nos voisins de ponton qui s'étaient également approchés pour aider le Sanguetta à s'amarrer.



Une fois les amarres en place et le moteur coupé, les présentations ont été faites par mon matelot et par Giulia, la jeune fille de l'équipage italien qui parle également français. Nous avons ainsi fait la connaissance de Livio et Maria Angela, les parents, de Giulia leur fille et de Chiara, une amie de cette dernière.

La famille est originaire de la région de Genova et elle passe les vacances sur les fleuves et canaux français. Après son périple estival, elle retourne vers Auxerre où le Sanguetta passera l'hiver tandis que Livio et Maria Angela retourneront en Italie.

Nous avons invité l'équipage à notre bord pour un apéritif et mon matelot a ainsi pu parler italien. Plus tard, après le diner, c'est à bord du Sanguetta que nous nous sommes rendus pour une petit visite de cette vedette Linssen.
C'est un beau bateau, clair et moderne, bien adapté et équipé pour les vacances.

Le Sanguetta n'est là que pour la soirée, il repartira demain matin. Il s'était déjà arrêté lorsqu'il était avalant mais c'était pour la pause de midi et nous devions être au travail car nous ne l'avions pas vu.

Nous reverrons sans doute son équipage à l'avenir car la famille à des amis à Saint Mammès et elle semble être une habituée des lieux.










vendredi 17 juillet 2015

Le Sun River, un bateau tchèque 100% solaire fait escale à Paris


Article paru dans le 20minutes du jour

Paris: Un bateau 100% solaire fait escale dans la capitale


INNOVATION - Miroslv Cink, un Tchèque de 77 ans, fait un tour d’Europe avec le « Sun River », avant une possible commercialisation…

Photo extrait de 20minutes.fr

Il est arrivé ce jeudi soir, tard dans le port de l’Arsenal (12e). Mais malgré le peu de sommeil, Miroslv Cink, un Tchèque de 77 ans, capitaine du Sun River, est fier ce vendredi matin de faire la visite de son vaisseau. Et pour cause. « C’est le premier bateau de plaisance pour les rivières et canaux qui fonctionne exclusivement à l'énergie solaire », avance-t-il dans sa cabine.
Equipé de 80 panneaux solaires et de 58 batteries au lithium, ce navire de 11 mètres de longueur et 4 mètres de largeur a quitté la République tchèque – plus précisément le port de Marina Labe à Píšťany - le 5 juin pour un tour d’Europe, « sans aucune émission dans l’eau ou dans l’air et dans un silence extrême », poursuit-il. A Paris, il fête le cap des 2.000 kilomètres parcourus.

«A 7 km/h, je peux parcourir 300 kilomètres»

Avec une moyenne de 50 kilomètres par jour, Miroslv a fait escale dans de nombreuses villes. «Je suis passé par l’Allemagne à Dresde, Magdebourg, Lübeck, puis en Belgique via Anvers et Bruxelles», détaille-t-il. Et ce, uniquement grâce au soleil.
«Là, on charge. Même si le temps est couvert, les batteries se rechargent grâce à la lumière», s’exclame-t-il. En trois jours toutes les batteries de son navire peuvent être pleines. Ce qui lui permet d’avancer mais aussi d’avoir de l’eau chaude, de l’eau potable et l’électricité. Imaginé il y a six ans par cet ancien ingénieur de turbines et construit à partir de 2012 avec une équipe de dix ingénieurs, le Sun River a une «bonne autonomie». «A 7 km/h [près de 4 nœuds], je peux parcourir 300 kilomètres», dit-il, calculette en main.

«L’idée est de vendre le concept»

Ce samedi matin, il file vers Strasbourg, Amsterdam, avant le retour vers son port d’attache. Il aura effectué 5.000 kilomètres. Un dernier tour test avant une éventuelle commercialisation.
« Un bateau comme celui-ci pourrait coûter pour un particulier 350.000 euros », dit-il. « Mais l’idée est de vendre le concept à une grosse firme pour le produire en série et moins cher », ajoute Miroslv. Un moyen pour ce retraité, sur l’eau depuis son plus jeune âge, de se concentrer sur la partie recherche et peaufiner toujours son « bébé » grâce aux avancées technologiques dans le domaine de l’énergie solaire.
Romain Lescurieux

dimanche 5 juillet 2015

Le Kyanna fait escale au Port Saint Jacques






Un Luxmotor ?


Vendredi soir, lorsque nous sommes arrivés au port après notre journée de travail, nous avons constaté que nous avions un nouveau voisin: un Luxmotor d'une vingtaine de mètres, battant pavillon britannique, était stationné contre la berge, à l'extérieur du port.

Le temps de nous mettre en tenue décontractée et d'ouvrir la totalité des fenêtres du narrow boat pour diminuer un peu la température intérieure, nous allions à la rencontre de nos voisins d'un week-end.

Car Richard et Sandra, un couple britannique, ne resteront que le temps du week-end et largueront leurs amarres dés dimanche matin.
Bien que centenaire, c'est un beau bateau que le Kyanna !




Long et large, il est très bien équipé et dispose d'une surface considérable, surtout si on le compare à notre bateau ! Richard dispose même d'une remorque sur le toit et d'un scooter.
Et que dire de la terrasse arrière ombragée, que du bonheur par ce temps de canicule !

Grand amateur de pêche, Richard passe beaucoup de temps à pêcher à l'arrière de son bateau. Il a même attrapé une carpe lorsque nous étions à proximité et ne pratiquant cette activité que pour le sport, il a remis à l'eau le beau poisson.

Venant du sud de la France, je crois, ils naviguent vers Paris pour prendre la Marne mais ils hésitaient encore sur leur destination : le nord ou Reims :)

Nous avons passé une partie de la soirée avec eux et ils nous ont fait le plaisir de nous faire visiter leur bord.

C'est dimanche matin, après que nous les ayons invité pour un petit déjeuner à base de pain frais et de croissants, qu'ils ont visité notre bateau. 
Et peu après, ils reprenaient la direction de Paris avec leur Kyanna. Souhaitons bonne navigation à ce charmant couple et qui sait, de les retrouver sur un canal :)

Un blog nous fait part de leurs aventures à bord du Kyannaodyssée du Kyanna !













Un Wide Beam sur la Seine : Le Cochon Noir


Un cochon sur la Seine !


Ce midi, alors que nous discutions avec Richard et Sandra du Kyanna peu de temps avant qu'ils ne reprennent leur navigation vers Paris, nous avons vu passer un Wide Beam sur la Seine: Le Cochon Noir !
Peint tout de noir avec un toit blanc-crème, il descendait la Seine à bonne vitesse en direction de Paris.

Nous leur avons fait un petit coucou et Richard qui connaissait le capitaine anglais l'a salué mais le bateau ne s'est pas arrêté, sans doute pressé d'arriver à la prochaine écluse avant la pause du déjeuner.









Je l'ai déjà vu le WB Cochon Noir, il était stationné au port de l'Arsenal à Paris l'année dernière, en juillet 2014 et l'équipage se compose de Clive et d'Elaine :)

Il s'agit d'un Widebeam de 60 pieds, c'est à dire environ 18,28m de long. Il a été construit par la Aintree Boats Compagny à Liverpool et les photos de sa construction apparaissent sur le profil Facebook de la société. L'intérieur est particulièrement cossu et son équipement au top puisque l'on peut apercevoir à l'avant du toit un globe en plastique qui protège une antenne satellite TV automatique :)

samedi 4 juillet 2015

Le chat Bengal du narrowboat !



Chaud, il a chaud le chat du bord !

Il reste à l'abri du soleil toute la journée, couché dans un coin du salon et il ne sort qu'en fin d'après-midi, lorsque la température est descendue à un niveau plus raisonnable.
Et encore, il n'hésite pas à rester sous l'auvent tant que le soleil n'est pas caché.
La végétation, un peu sèche pour ne pas dire brulée, ressemble à la savane et accroit sa ressemblance avec une petit guépard :)






mercredi 1 juillet 2015

Chaud le narrowboat ! C'est la canicule !


C'est la canicule !
Prés de 40°C aujourd'hui à Boissettes et plus de 30°C sur le bateau...


Tellement chaud que j'ai l'impression que la Guinness s'évapore ! :D