Les premiers contacts...
Ils ont eu lieu par email, grâce au formulaire qu'il y avait sur l'annonce mise en ligne.
Les envois de mail ont donc augmenté jusqu'à ce que je n'ai plus de questions à poser à propos du "Dream On" mais il a fallut plus d'une réponse de Paul & Chris !
C'est fou toutes les questions qui peuvent vous passer par la tête !
C'est fou toutes les questions qui peuvent vous passer par la tête !
A côté de cela, je me demande également comment faire immatriculer un bateau britannique en France et je me rapproche de la DRIEA, quai d'Austerlitz à Paris, pour avoir les premières réponses. En fait, c'est assez simple du fait que le "Dream On" mesure moins de 20m. Ainsi, une carte de circulation suffira et la constitution du dossier est assez simple. Cependant, pour que tout se passe bien, il me faut impérativement: l'homologation CE du bateau et un document émanant des autorités britanniques pour certifier de la radiation du pavillon britannique après la vente...
Bien évidement, il y a aussi la partie "financement" qui prend de l'ampleur... à défaut de savoir si je vais acheter ce bateau, il me faut déjà savoir si je peux le faire.
Bien évidement, il y a aussi la partie "financement" qui prend de l'ampleur... à défaut de savoir si je vais acheter ce bateau, il me faut déjà savoir si je peux le faire.
Déjà des démarches...
Entre temps, mes démarches pour trouver un emplacement pour stationner mon futur bateau ont connu un nouvel élan. Déjà inscrit sur les listes d'attente pour l'Île de France et une région un peu plus au sud (Loiret), j'ai repris mon système de mailing vers tous les ports, marinas et bases nautiques que j'ai pu identifier sur Internet et dans les revues spécialisées...
Inutile de vous préciser que la plupart des réponses étaient négatives :(
Inutile de vous préciser que la plupart des réponses étaient négatives :(
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