Libellés

Affiche (6) Alerte (5) Aménagement (26) Animaux (128) Annonce (48) Astuces (20) Bateaux (293) Blog (9) Bricolage (44) CPA (28) Démarches (14) Fêtes (6) Gourmandises (4) Histoire (195) Humour (8) invention (8) Journal (49) Livre (2) Météo (103) Navigation (45) Pêche (7) Personnage (2) Photos (197) Photos anciennes (173) Pourquoi (16) Recherches (5) Rencontre (22) Sortie (15) Sport (9) Traditions (65) Travaux (26) Vidéo (29) Vie à bord (218) Visite (24)

lundi 28 avril 2014

Epave



Epave d'un bateau dans le port





Patapon, le héron

Habituellement discret


Un habitant des bords de Seine est venu ce soir sur les berges du port. Sans doute attiré par les poissons qui y frayent, un héron a passé quelques instants au port St Jacques, le temps d'être mitraillé par nos appareils photos respectifs ! :)

Hélas, il était déjà tard et, entre la mauvaise météo et le manque de luminosité, il n'a pas été facile de prendre des clichés acceptables... On essayera de faire mieux une autre fois, si d'aventure Patapon, le héron, nous fait l'honneur d'une nouvelle visite !













samedi 26 avril 2014

Les cygnes, bis !


Les cygnes bis, car le sujet est abordé également dans le journal local. 

Voici donc un article de La République de la Seine & Marne, intitulé "Au secours des cygnes": 






"Depuis quelques semaines, les cygnes ne quittaient plus la berge du quai Hippolyte Rossignol à Melun. Ils demeuraient dangereusement près de la départementale et certains se risquaient même sur la route, si bien que l’un deux a été percuté par une voiture. Craignant un accident, la mairie de Melun a contacté l’Association pour la défense et la sauvegarde des cygnes (ADSC) pour établir un plan d’action.

Graisses alimentaires ?

Sur place, Jocelyne Poyot, la présidente de l’association, a constaté que les palmipèdes « n’arrêtaient pas de faire leur toilette » et qu’ils avaient de « drôles de tâches jaunes à l’odeur rance sur leur plumage ». Elle soupçonne ainsi « une pollution à la graisse alimentaire » très préjudiciable pour les cygnes dont le plumage « n’est plus imperméable et s’imbibe d’eau », d’où leur séjour prolongé à terre où ils essayaient, non sans difficulté, de se décrasser.

« Panneaux de cygnalisation »


Selon la mairie, il faudrait surtout éviter que les badauds ne nourrissent les cygnes pour ne pas les attirer trop près de la route. Des panneaux de « cygnalisation » prévenant les automobilistes de possibles traversées des palmipèdes ont d’ores et déjà été installés.

L’ADSC est tout de même passée à l’action et a capturé douze des volatiles qui restaient à proximité de la départementale. Ils ont ensuite été transportés au centre de soin de l’association à Savigny-le-Temple où ils sont traités. Après avoir attaché leurs pattes, Jocelyne Poyot les lave méticuleusement dans la baignoire de sa salle de bain, puis les enveloppe dans des serviettes et les passe au séchoir. Ils sont en- suite libérés dans un enclos où ils resteront de deux à trois semaines le temps de retrouver leur imper- méabilité avant d’être relâchés dans la Seine.
Bénévoles wanted !
La présidente de l’association est à la recherche de bénévoles « surtout lors de situations exception- nelles comme celle-ci qui demandent un travail lourd » mais « également après la saison des amours » avec les nombreux orphelins qu’elle a à prendre en charge. Elle aimerait pouvoir « transmettre à des jeunes » ses « dix-sept ans d’expérience »

Association pour la défense et la sauvegarde des cygnes : 01 60 63 22 84.

» Melun, 77
Thomas Martin"

Les cygnes et la pollution de la Seine


Extrait du journal Le Parisien du 16/04/2014:





"Ce n'est ni la saison des amours ni la température de l'eau qui pousse les cygnes de la Seine à arpenter le quai Hippolyte­ Rossignol à Melun. Cela fait trois semaines qu'une trentaine de volatiles aux longs cous ne quitte plus la terre ferme de la berge. Les oiseaux à pattes palmées ne se mettent plus que rarement à l'eau pour en ressortir rapidement afin de lisser leurs plumes à petits coups de becs.

Et pour cause : « ils ne sont plus étanches », résume Jocelyne Poyot, présidente de l'Association de défense et de sauvegarde des cygnes (ADSC). « Ces animaux ont été victimes d'une pollution aux hydrocarbures ou à l'huile, certifie la spécialiste. Leurs plumes sont collées, une sorte de graisse les recouvre qu'ils n'arrivent pas à enlever. » Le plumage d'habitude si chaud de ces oiseaux blancs ne leur confère plus une imperméabilité suffisante pour qu'ils voguent sur les flots. Ils restent donc toute la journée sur une bande de terre de quelques mètres de large, entre la Seine et une départementale fréquentée. Certains n'hésitent pas à s'aventurer sur le bitume, obligeant les automobilistes à ralentir et parfois à faire des écarts. « Nous allons mettre des panneaux de signalisation en début de semaine prochaine, assure la mairie de Melun. Mais cette pollution n'est pas prouvée. Pour nous, c'est plutôt parce que des riverains leur donne à manger et nous allons mettre en place une campagne de communication pour l'éviter ». Ces doutes n'ont pas empêché les membres de l'ADSC d'agir. Depuis lundi, ils attrapent les cygnes aux plumes sales qui déambulent sur les berges et les emmènent dans leur centre de soins de Savigny­le­Temple. La tête cachée par une chaussette noire et les pattes entravées, les oiseaux y sont minutieusement lavés dans une grande baignoire à l'aide de produits spéciaux. Ils passent ensuite plusieurs semaines dans un jardin le temps qu'ils réimperméabilisent leur plumage avant d'être relâchés. « Mais nous manquons de bras pour être efficaces, se désole Jocelyne Poyot. A ce rythme, il nous faudra plusieurs semaines pour traiter tous les cygnes et cela augmente le risque d'accident. » Son association recherche donc de nouveaux bénévoles afin de nettoyer les oiseaux le plus rapidement possible. Pour aider à nettoyer les cygnes, appelez le 01.60.63.22.84."

jeudi 24 avril 2014

Deux mois !

Deux mois...


Oui, ça fait deux mois que notre rouquin a disparu, jour pour jour
.
Nous avons fait le tour des fourrières, cliniques vétérinaires, services municipaux... nous avons mis des annonces sur Internet, placardé des affiches dans toutes les villes des environs. Rien n'y a fait !

Bien sûr, nous avons eu quelques appels, souvent de fausses pistes car il y a quantités de chats roux qui se baladent dans le coin.

Il y a toutefois un couple chez qui nous nous sommes rendus plusieurs fois car un rouquin passe de temps en temps chez eux.
Ce soir d'ailleurs, ils nous ont appelé: le chat roux était sur la terrasse mais le temps d'arriver, il s'était envolé. Nous avons fait le tour, cherché dans les environs et nous l'avons appelé des dizaines de fois mais il n'est pas venu. 

Mais est-ce bien lui ?





mercredi 23 avril 2014

Ratatouille, le ragondin

Notre voisin, le plus discret !


Il se fait effectivement très discret notre voisin, sans doute son instinct lui commande-t-il la prudence car considérés comme nuisibles, beaucoup de ses congénères sont pourchassés.

Il arrive dans le port le matin de bonne heure, réglé quasiment comme une pendule: il passe l'entrée entre 6h40 et 6h50 ! Tous les matins !
Il longe la berge, en face de notre narrowboat et se réfugie un peu plus loin sous le quai bétonné où il disparait. 
Le soir, nous avons plus de mal à cerner son heure de départ, elle varie en 21h30 et 22h30... Il quitte le port par le même chemin !
Plusieurs fois, nous l'avons vu accompagné d'un autre ragondin, plus petit, que nous avons assimilé à sa compagne.

Au vu de ses horaires, il est difficile de le photographier : le soir, il fait nuit et le matin, le port est encore très sombre, quand la brume ne s'en mêle pas ou que le soleil tout juste levant et rasant ne provoque un contrejour néfaste à la prise d'une photo...
Difficile.. pourtant, je persévère !

Cet hiver déjà, en février, j'étais parvenu à le photographier tandis qu'il longeait la coque du Dream On au moment où il passait dans le halo laissé par la lumière de la cuisine se reflétant sur la Seine.


Vu les conditions, j'étais assez content de ce cliché, saisi au vol avec un compact. Mais je cherchais tout de même à obtenir quelque chose de mieux. 

Comme son parcours dans le port reste pour le moment le long de la berge opposé, loin du bateau, un télé-objectif est nécessaire. L'inconvénient, c'est qu'avec ce genre de matériel, la luminosité est encore plus importante...

Voilà les dernières photos prises mais j'espère que Ratatouille va continuer à être aussi ponctuel pour que je puisse profiter d'une meilleure luminosité pour l'immortaliser :)









lundi 21 avril 2014

Vues du narrowboat Dream On au port à Boissettes



Quelques vues prises au port St Jacques.


Le narrowboat se trouve non loin d'une rangée de peupliers, ce qui présente quelques avantages pour l'ombrage en début d'après-midi mais c'est aussi un gros handicap au niveau de l'entretien du bateau: entre les feuilles, le pollen, c'est une catastrophe pour tenir les extérieurs propres. 

La carrosserie, parce que l'acier de ce bateau anglais est peint comme une voiture, est en permanence sale, pleine de traces et de poussières. Même les ouvertures pour évacuer l'eau se bouchent... 

Je me demande comment font les anglais pour tenir leur bateau brillant comme des sous neufs.










La devise du bateau: Dream On






Un véritable atout de ce petit bateau anglais: la fenêtre latérale qui s'ouvre complètement. Ce qui nous permet de réellement apprécier la vie sur le fleuve et de pouvoir donner à manger à nos nouveaux voisins: les cygnes, canards et ragondins !







La sortie du port, donnant sur la Seine... En tournant à gauche, en amont, nous allons vers Melun. A droite, en aval, nous allons vers Paris !






Et lui, c'est le fauve du bord, qui rôde sur les rives de la Seine avant d'aller se recoucher sur le canapé !


dimanche 20 avril 2014

La boule magique !


... Finie la lessive !


A bord, nous avons une machine à laver que nous utilisions comme dans une maison, c'est à dire avec la lessive au savon de Marseille et l'assouplissant habituel. Les eaux usées étant rejetées, j'avais mauvaise conscience de continuer à utiliser nos détergents habituels.
Le choix d'une autre gamme de produits n'étant pas facile, nous avons opté pour une autre solution: la boule magique !

Bon, en tout honnêteté, je suis quelque peu sceptique quant aux résultats mais bon, nous avons fait l'essai.
La notice technique prétend que la boule, une fois dans le linge, change la charge électrique de l'eau, ce qui faciliterait le nettoyage des fibres... Admettons !


... mais pas le bruit !


Nous avons donc fait nos premières machines avec cette boule aujourd'hui. Quant aux résultats, difficile de l'apprécier car notre linge n'avait pas de grosses taches. La première grande différence sera l'odeur ! Ben oui, ça ne sent plus l'assouplissant !

Et puis il y a le bruit... La machine à linge du bord était plutôt silencieuse. Avec une boule en plastique qui se cogne sur les parois, cela a changé !

Enfin, on verra à l'usage. En attendant, l'eau de la Seine est moins chargée en savon de Marseille !



mardi 15 avril 2014

Brume de printemps

Le printemps est là et le soleil brille mais les petits matins sont encore très frais !

Par exemple, ce matin à 6h30mn, il ne faisait que 2,5°C dehors et 11°C à bord !




lundi 14 avril 2014

Le narrowboat Otter, à vendre


Sur le boncoin.fr




Toujours attentif à ce qui concerne les narrowboat en France, j'ai retrouvé l'Otter en vente sur le site de petites annonces français : le boncoin.fr.

Il s'agit d'un bateau que j'ai déjà croisé, en vente l'année dernière au moment où j'en cherchais un.

Il appartenait à un vieux monsieur, décédé, et il est mis en vente par son fils qui visiblement n'arrive pas à le vendre.

Cela dit, si mes souvenirs sont bons, il n'a pas été facile de se mettre d'accord sur un rendez-vous pour visiter le bateau car celui qui s'occupait de la vente habitait en Corse et il était peu sur le continent. Au final, je n'arrivais pas à obtenir d'informations sur ce bateau, ni même de photos et finalement, faute de tomber d'accord avec le vendeur, je ne l'ai jamais visité.

Et je le retrouve là, sur ce site d'annonce:




Bon, 40 000 euros pour un 13m de 1972... équipé d'un poêle à bois, je vous laisse deviner ce que je pense du prix ! :(

Et puis quelle idée d'indiquer qu'il n'y a pas besoin de permis pour un bateau de moins de 15m ?!?! 

J'aurai préféré des précisions sur la marque et la puissance du moteur :)  Ce narrowboat semble être de type "cruiser" et il porte une peinture et des décorations traditionnelles. La photo n'est pas très bonne mais ça pourrait être un beau bateau.

Souhaitons que le NB Otter trouve un propriétaire qui le mérite :)

samedi 12 avril 2014

Nos voisins, ces petites bêtes

Des petites bêtes !


Nos voisins, non humains, sont nombreux sur le port ! 
Il y a plusieurs chats, un couple de cygnes, des canards, un couple de ragondins, un héron, un martin-pêcheur et un cormoran qui passent de temps à autre...

Oui, il y a du monde sur le port !















Les touristes arrivent !


Pendant ce temps-là, comme il fait beau, les plaisanciers commencent de nouveau à sillonner la Seine à l'image de ces bateaux, l'Interzone et le Bip-Bip.





mardi 8 avril 2014

Un nouveau matelas



Changement de literie


Eh! oui, mine de rien, nous y passons beaucoup de temps au lit alors  il ne faut pas prendre le problème du matelas à la lègère !

Lorsque nous avons acquis le Dream On, le matelas de la chambre n'était plus de première jeunesse et nous nous étions mis à la recherche d'un matelas avec ses dimensions plutôt spécifiques.
Les magasins de la région n'en avaient pas en stock, il fallait le commander, attendre quatre semaines et payer le prix fort pour du sur-mesure.


Destockage



A force de chercher sur Internet et par le biais de quelques mots clés, j'ai été informé le week-end dernier d'un gros destockage de matelas dans les magasins Conforama et coup de chance, les dimensions de mon matelas étaient non seulement référencées mais également disponibles dans le magasin le plus prés du port: celui de Melun (77). Avec l'avantage du destockage: avoir une marque de renom  pour environ 40% de son prix habituel.

Il ne nous a pas fallu longtemps pour aller le réserver et verser un acompte. Après, le problème était de le ramener à bord et de se débarrasser de l'ancien, nos voitures respectives n'étant pas assez grandes pour transporter un matelas pour deux personnes.

Ce n'est qu'aujourd'hui que nous avons réussi à trouver une solution en la personne de notre gardien de port, Nicolas et de son camion.
En l'espace de peu de temps, nous avions récupéré notre nouveau matelas et déposé le vieux à la déchetterie locale.

Pas facile de le faire monter à bord ce nouveau matelas, non pas qu'il soit plus grand que l'ancien, simplement la porte arrière n'est pas assez grande pour le faire entrer sans le plier dans tous les sens et même la mise en place a été délicate mais bon, c'est fait. Nous en aurons pour quelques années :)



C'est beau, c'est neuf! Il n'y a plus qu'à l'essayer ce soir ! :)