Un jour férié, un temps presque pas maussade, il était évident que c'était la journée idéale pour prendre le premier bain de l'année dans la Seine !
Des cris ?
Ce matin, nous avons été réveillés par des cris d'animaux jusqu'ici inconnus !
Me levant précipitamment pour voir ce qu'il se passait, j'ai aperçu deux cormorans dans le port à quelques mètres de notre bateau. L'un d'eux était en train de se battre, ni plus ni moins, avec une anguille d'une quarantaine de centimètres ! Cet oiseau pêcheur avait réussi à attraper ce poisson et il tentait de l'avaler tel quel mais l'anguille s'enroulait autour de son cou.
Le temps d'aller chercher l'appareil photo à l'avant du bateau, je n'ai pas eu le temps de prendre les photos que j'aurai voulu, dommage car la scène était inédite et impressionnante.
Laissant le cormoran à son festin sous la menace des mouettes qui lorgnaient sur son butin, j'ai passé une partie de la matinée à nettoyer l'extérieur du bateau: les peupliers du port continuent de perdre leurs inflorescences, graines et bourre cotonneuse qui, amenés par le vent, collent au bateau et bouchent les gouttières. Il y en a partout !
J'en ai profité pour ôter également quelques toiles d'araignée et c'est en voulant en enlever une sur le flanc du bateau que je me suis penché, les pieds sur la corniche extérieur. A ce moment-là, un bateau de commerce est passé sur la Seine, sa vague d'étrave est entré dans le port et a fait giter le bateau.
C'est là que j'ai perdu l'équilibre et que je suis tombé à l'eau, tout habillé !
On peut dire que l'eau est encore fraiche à cette époque !
Dans l'eau, je n'ai pas lâché ma brosse: j'en ai déjà laissé tomber une dans l'eau, il y a une dizaine de jours !
Par contre, j'ai eu bien du mal à remonter à bord car la berge bétonnée est abrupte et n'offre aucune prise. En plus, le blouson en laine polaire que je portais s'était gorgé d'eau et j'avais l'impression qu'il pesait 30kg !
Les flancs du bateau sont également lisses et il n'y a pas d'échelle ! Heureusement, il y a des amarres à l'arrière qui m'ont permis de me hisser à bord.
Mon petit matelot m'a apporté de quoi me sécher et elle est également venue avec son appareil photo pour immortaliser la scène. Un quart d'heure après, elle en riait encore !
Le temps d'aller chercher l'appareil photo à l'avant du bateau, je n'ai pas eu le temps de prendre les photos que j'aurai voulu, dommage car la scène était inédite et impressionnante.
Les peupliers
Laissant le cormoran à son festin sous la menace des mouettes qui lorgnaient sur son butin, j'ai passé une partie de la matinée à nettoyer l'extérieur du bateau: les peupliers du port continuent de perdre leurs inflorescences, graines et bourre cotonneuse qui, amenés par le vent, collent au bateau et bouchent les gouttières. Il y en a partout !
J'en ai profité pour ôter également quelques toiles d'araignée et c'est en voulant en enlever une sur le flanc du bateau que je me suis penché, les pieds sur la corniche extérieur. A ce moment-là, un bateau de commerce est passé sur la Seine, sa vague d'étrave est entré dans le port et a fait giter le bateau.
C'est là que j'ai perdu l'équilibre et que je suis tombé à l'eau, tout habillé !
Le premier bain !
On peut dire que l'eau est encore fraiche à cette époque !
Dans l'eau, je n'ai pas lâché ma brosse: j'en ai déjà laissé tomber une dans l'eau, il y a une dizaine de jours !
Par contre, j'ai eu bien du mal à remonter à bord car la berge bétonnée est abrupte et n'offre aucune prise. En plus, le blouson en laine polaire que je portais s'était gorgé d'eau et j'avais l'impression qu'il pesait 30kg !
Les flancs du bateau sont également lisses et il n'y a pas d'échelle ! Heureusement, il y a des amarres à l'arrière qui m'ont permis de me hisser à bord.
Mon petit matelot m'a apporté de quoi me sécher et elle est également venue avec son appareil photo pour immortaliser la scène. Un quart d'heure après, elle en riait encore !
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