Quelques petits aménagements
Profitant du beau temps, j'ai effectué quelques bricoles sur le bateau. Notamment le nettoyage du coffre de toit qui devrait bientôt accueillir le numéro d'immatriculation du bateau, ainsi que l'étiquetage de l'interrupteur qui géré l'électricité à bord.
Pour ce qui est du coffre, rien de bien difficile: de l'eau, une brosse et de l'huile de coude pour ôter les taches et champignons qui salissaient le plastique.
Avant... |
... Après ! |
Pendant ce temps-là, mon matelot nous a découpé des lettres et des chiffres dans de l'adhésif noir acheté en rouleau dans un magasin de bricolage local. Une fois le coffre sec, il n'y avait plus qu'à coller ce qui constitue l'immatriculation du narrowboat.
Drôle d'idée ?
Drôle d'endroit pour y mettre ce numéro, me direz-vous !
En fait, je n'avais pas envie de coller cette immatriculation disgracieuse sur la carrosserie du bateau. Ainsi placée, je trouve que ça limite la casse. D'autant que je n'aime pas non plus ce coffre de toit et que j'ai lancé des devis pour en faire faire un en acier, de forme plus traditionnelle pour mettre sur un narrowboat. Je peindrai alors le numéro d'immatriculation à la peinture jaune, coquille d'oeuf, ce qui sera plus dans le ton des décorations extérieures du bateau.
En attendant, ça donne ça:
Pour l'interrupteur général, le but était de remplacer les chiffres (1, 2 et 3) par des abréviations clairement lisibles !
En effet, les chiffres, c'est bien mais souvent je ne sais plus à quoi ils correspondent ! surtout après une longue période sans avoir besoin de changer de position, ce qui est le cas lorsque l'on reste au port. Pour remédier à cela, il m'a suffit de démonter le sélecteur et le cadre en plastique. Quelques étiquettes ont fait l'affaire et maintenant, c'est un peu plus lisible: on sait donc instantanément que l'électricité provient soit des batteries, de l'EDF ou du moteur !
En effet, les chiffres, c'est bien mais souvent je ne sais plus à quoi ils correspondent ! surtout après une longue période sans avoir besoin de changer de position, ce qui est le cas lorsque l'on reste au port. Pour remédier à cela, il m'a suffit de démonter le sélecteur et le cadre en plastique. Quelques étiquettes ont fait l'affaire et maintenant, c'est un peu plus lisible: on sait donc instantanément que l'électricité provient soit des batteries, de l'EDF ou du moteur !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire